Internet

Published on June 2016 | Categories: Documents | Downloads: 52 | Comments: 0 | Views: 651
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1.Introduction Internet est un système mondial d'interconnexion de réseau informatique, utilisant un ensemble standardisé de protocole de transfert de données. C'est donc un réseau de réseaux, sans centre névralgique, composé de millions de réseaux aussi bien publics, privés, universitaires, commerciaux et gouvernementaux. Internet transporte un large spectre d'information et permet l'élaboration d'applications et de services variés comme le courrier électronique, la messagerie instantanée et le World Wide Web. Internet ayant été popularisé par l'apparition du World Wide Web, les deux sont parfois confondus par le public non averti. Le World Wide Web n'est pourtant que l'une des applications d'Internet. L'accès à Internet peut être obtenu grâce à un fournisseur d'accès à Internet via divers moyens de communication électronique : soit filaire (réseau téléphonique commuté (bas débit), ADSL, fibre optique jusqu'au domicile) , soit sans fil (WiMAX, par satellite, 3G+). Un utilisateur d'Internet est désigné par le néologisme « internaute ». 2.Concepts de Base : 2.1 Nom de l’Ordinateur : Pour être identifié sur un réseau local, votre ordinateur possède un nom. Or par défaut, ce nom n'est pas forcément très explicite. Heureusement, vous pouvez le modifier et ainsi le personnaliser. Cliquez avec le bouton droit sur le Poste de travail puis choisissez la commande Propriétés. Dans la boite de dialogue qui apparaît, ouvrez l'onglet Nom de l'ordinateur puis cliquez sur le bouton Modifier. Saisissez alors le nom que vous souhaitez donner à votre ordinateur puis validez deux fois par Ok.

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Redémarrez enfin votre ordinateur pour appliquer la modification. 2.2 Modifier le nom de votre ordinateur : Les ordinateurs en réseau nécessitent un nom unique leur permettant de s’identifier et de communiquer entre eux. Il est préférable de garder les noms d’ordinateur courts (15 caractères au maximum) et facilement identifiables. Il est recommandé d’utiliser uniquement les caractères standard sur Internet dans les noms d’ordinateur. Ces caractères correspondent aux nombres compris en 0 et 9, les majuscules et les minuscules de A à Z et le tiret (-). Les noms d’ordinateur ne peuvent pas se composer uniquement de nombre ni contenir d’espace. Les noms ne peuvent pas non plus contenir des caractères spéciaux tels que : <>;:"*+=\|?, Remarque Certains fournisseurs de services Internet requièrent que vous utilisiez un nom d’ordinateur spécifique pour qu’ils puissent identifier votre ordinateur et valider votre compte. Si tel est le cas avec votre fournisseur, ne modifiez pas le nom qui vous a été attribué. 1. Pour ouvrir Système, cliquez sur le bouton Démarrer , sur Panneau de configuration, sur Système et maintenance, puis sur Système. 2. Sous Paramètres de nom d’ordinateur, de domaine et de groupe de travail, cliquez sur Modifier les paramètres. Si vous êtes invité à fournir un mot de passe administrateur ou une confirmation, fournissez le mot de passe ou la confirmation. 3. Sous l’onglet Nom de l’ordinateur, cliquez sur Modifier. 4. Sous Nom de l’ordinateur, supprimez l’ancien nom de l’ordinateur, tapez un nouveau nom, puis cliquez sur OK. Si votre ordinateur appartient à un domaine, le système vous invite à entrer le nom et le mot de passe d’un compte ayant l’autorisation de renommer l’ordinateur sur le domaine. 2.3 Partager correctement un dossier Windows vous permet de partager des dossiers avec les autres ordinateurs de votre réseau. Ces derniers pourront ainsi accéder aux fichiers et dossiers que vous aurez partagés. Deux types de partage sont possibles : le partage simple et le partage avancé. Le partage simple est tellement simple que si vous partagez un dossier, n'importe qui sur le réseau peut y avoir accès. Il n'y a aucune permission utilisateur définie, encore moins de mot de passe. Ce type de partage n'est pas recommandé, surtout si vous n'êtes pas protégé par un pare-feu. Nous vous conseillons d'utiliser le partage avancé qui permet de définir des permissions pour chaque utilisateur et de refuser ainsi les utilisateurs non identifiés.
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Dans un premier temps, vous devez créer un compte utilisateur que vous autoriserez par la suite à accéder à votre partage, grâce aux listes de contrôle d'accès (ACL). Enfin, pour empêcher les autres utilisateurs locaux d'accéder à vos documents partagés, vous devrez définir des permissions NTFS. 2.4 Partage de fichiers sous Windows XP 2.4.1 Intérêt Le partage de fichiers consiste à rendre disponible à travers le réseau le contenu d'un ou plusieurs répertoires. Tous les systèmes Windows possèdent en standard des mécanismes permettant de mettre facilement en partage le contenu d'un répertoire. Néanmoins le partage de fichiers peut poser des problèmes de sécurité, car, par définition, il donne accès aux autres utilisateurs au contenu d'une partie du disque dur. Ainsi, il est essentiel de ne partager que des répertoires dont la révélation du contenu (voire la destruction) ne revêt pas une importance capitale. En outre, il est fortement déconseillé de mettre en partage toute une partition du disque dur. Cette opération est fortement déconseillée si vous n'avez pas confiance en les autres utilisateurs du réseau ! 2.4.2 Noms de machine En premier lieu, il est nécessaire de donner un nom de machine explicite. Pour ce faire, il suffit d'aller dans Panneau de configuration / Système, puis dans l'onglet « Nom de l'ordinateur » et enfin sur « Modifier... ».

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Il est nécessaire d'avoir les privilèges d'administrateur pour effectuer cette opération. 2.4.3 Partage de fichiers simple Le partage de fichiers simple est le mode de partage activé par défaut (et le seul mode disponible sous Windows XP Home, c'est-à-dire Windows XP édition
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familiale). Il permet de partager globalement, pour tout le groupe de travail, les fichiers d'un répertoire, sans aucune restriction ni aucun mot de passe. Sa mise en œuvre est triviale. Il est toutefois nécessaire sous Windows XP Pro d'activer le partage de fichiers simple en ouvrant le poste de travail, puis Outils / Options des dossiers... / Affichage. En bas de la liste déroulante, veillez à ce que l'option Utiliser le partage de fichiers simple (recommandé) soit coché.

Pour partager un dossier, il suffit ensuite de cliquer avec le bouton droit sur le répertoire à partager, puis de se positionner sur l'onglet Partage :

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2.4.4 Partages administratifs et partages cachés Lorsque le nom d'une ressource partagée se termine par le caractère « $ », elle est alors cachée, c'est-à-dire qu'elle n'apparaît pas dans la liste des ressources. Par défaut les systèmes Microsoft Windows possèdent des partages administratifs cachés afin de permettre à l'administrateur d'une machine d'accéder aux ressources de la machine à travers le réseau. Les partages administratifs administrateur, sont les suivants :
   

par

défaut,

accessibles

uniquement

aux

C$ : Accès à la partition ou au volume racine. Les autres partitions sont également accessibles par leur lettre, suivie du caractère « $ » ; ADMIN$ : Accès au répertoire %systemroot%, permettant la gestion d'une machine sur le réseau. IPC$ : Permettant la communication entre les processus réseau. PRINT$ : Accès à distance aux imprimantes.

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Pour visualiser et gérer les partages administratifs de l'ordinateur, il suffit d'aller dans Panneau de configuration / Outils d'administration / Gestion de l'ordinateur / Dossiers partagés / Partages. Une alternative consiste à cliquer avec le bouton droit sur le poste de travail et sélectionner Gérer. 2.4.5 Partage de fichiers avancé Le partage de fichiers avancé, disponible uniquement sous Windows XP Pro et supérieur, consiste à définir des autorisations d'accès aux ressources partagées par utilisateur ou par groupe d'utilisateurs. Contrairement au partage de fichiers simple, l'accès aux ressources partagées se fait suite à l'identification des utilisateurs. Pour mettre en place le partage de fichiers avancé, il est nécessaire, dans un premier temps, de désactiver le partage de fichiers simple en ouvrant le poste de travail, puis Outils / Options des dossiers... / Affichage. En bas de la liste déroulante, veillez à ce que l'option Utiliser le partage de fichiers simple (recommandé) soit décochée.

Dans un second temps, il est nécessaire de créer autant de comptes utilisateurs que nécessaire. Pour créer des comptes utilisateurs, il suffit de cliquer sur Comptes utilisateurs dans le panneau de configuration, puis sur Ajouter. Si un compte identique (avec le même mot de passe) existe sur la machine distante, utilisée par l'utilisateur, il n'aura pas besoin de saisir son mot de passe pour l'accès au partage.

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Lors du partage d'une ressource (clic avec le bouton droit, puis Partage et sécurité), il suffit de cliquer sur le bouton Autorisations :

Afin de restreindre l'accès à la ressource partagée, il est nécessaire de supprimer l'accès à « Tout le monde », puis de donner l'accès aux seuls utilisateurs autorisés. Eventuellement un accès anonyme peut être créé grâce au compte « Invité ». 2.4.6 Diagnostics Si l'accès aux ressources partagées ne fonctionne pas, la cause peut être une des suivantes : La connexion réseau entre les machines est incorrecte. Veuillez diagnostiquer le réseau ;
 

Les utilisateurs n'appartiennent pas au même domaine.

 Les ordinateurs du réseau local doivent posséder le même masque de sous-réseau. Il est possible de le vérifier simplement grâce à la commande ipconfig.

Un pare-feu (ou antivirus) sur l'ordinateur partageant la ressource, sur l'ordinateur accédant à la ressource ou sur le réseau empêche l'accès. Veuillez vérifier les réglages du pare-feu, éventuellement désactivez temporairement le pare-feu pour diagnostiquer si le problème est lié ;
  Le nombre d'utilisateurs maximal est 5 sous Windows XP familial et 10 sous Windows XP professionnel.  Un caractère spécial (tel qu'un espace) dans le nom d'une ressource partagée peut empêcher l'accès pour des systèmes d'exploitation plus anciens.

2.4.7 Adresse IP (Internet Protocol) Toutes les machines sur l'Internet sont identifiées grâce à une suite de chiffres:

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l'adresse IP. Sur l'Internet, les ordinateurs communiquent entre eux grâce au protocole IP (Internet Protocol), qui utilise des adresses numériques, appelées adresses IP, composées de 4 nombres entiers (4 octets) entre 0 et 255 et notées sous la forme xxx.xxx.xxx.xxx. Par exemple, 194.153.205.26 est une adresse IP. Ces adresses servent aux ordinateurs du réseau pour communiquer entre-eux, ainsi chaque ordinateur d'un réseau possède une adresse IP unique sur ce réseau. C'est l'Icann (Internet Corporation for Assigned Names and Numbers, remplaçant l'IANA (Internet Assigned Numbers Agency) depuis 1998, qui est chargée d'attribuer des adresses IP publiques, c'est-à-dire les adresses IP des ordinateurs directement connectés sur le réseau public Internet. 2.5 Le favoris réseau Si tout c'est bien passé jusqu'ici, vous ne devriez pas rencontrer de problèmes pour afficher les stations inscrites dans votre groupe de travail. Si malgré tout vous ne voyez pas les ordinateurs dans les favoris réseau, vous pourriez vous y connecter en tapant directement leurs adresses dans l'explorateur de fichiers (nous aborderons ce point dans la suite de ce dossier). Nous allons maintenant explorer les favoris réseau (clic droit sur Favoris réseau). Insistons sur explorer, ne pas faire un double clic sur le dossier favoris réseau. D'ici, nous développons l'arborescence : Favoris réseau > Tout le réseau > Réseau Microsoft Windows

Exploration du réseau Dans l'état, les ordinateurs sont visibles mais rien ne garanti que vous puissiez y avoir accès aussi simplement. Essayez en double cliquant sur vos ordinateurs. Ça marche ? Tant mieux ! Vous tombez sur une invite de logon avec un mot de passe que vous ne connaissez
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pas ? Pire, vous obtenez un message d'erreur Windows avec son désagréable et agressif (que vous pourriez changer entre nous) ? Pas de panique, nous poursuivons la procédure dans un prochain dossier "Dossier Monter un réseau local entre XP : Acte 2"(à paraître très prochainement). Jusqu'ici, ça roule, mais parfois les choses ne se passent pas toujours aussi bien. Si vous avez des difficultés, posez votre question sur le forum en indiquant les points qui posent problèmes. 3.Terminologie Le terme d'origine américaine « Internet » a été dérivé du concept d'internetting (en français : « interconnecter des réseaux ») dont la première utilisation documentée remonte à octobre 1972 par Robert E. Kahn1 au cours de la première ICCC (International Conference on Computer Communications) à Washington. Les origines exactes du terme Internet restent à déterminer. Toutefois, c'est le janvier 1983 que le nom « Internet », déjà en usage pour désigner l'ensemble d'ARPANET et plusieurs réseaux informatiques, est devenu officiel2. 1er En anglais, on utilise un article défini et une majuscule, ce qui donne the Internet. Cet usage vient du fait que « Internet » est de loin le réseau le plus étendu, le plus grand « internet » du monde, et donc, en tant qu'objet unique, désigné par un nom propre. Un internet (un nom commun avec « i » minuscule) est un terme d'origine anglaise utilisé pour désigner un réseau constitué de l'interconnexion de plusieurs réseaux informatiques au moyen de routeurs3. Une publication au Journal officiel de la République française indique qu'il faut utiliser le mot « internet » comme un nom commun, c'est-à-dire sans majuscule4. L'académie française recommande de dire « l'internet »5. Il existe une controverse sur le sujet entre les partisans des expressions « l'Internet » , « l'internet » , « Internet » et « internet » 6. 4.Historique Internet est né de la nécessité pour l’US Air Force, en 1962 pendant la guerre froide, d’avoir un réseau de communication militaire capable de résister à une attaque nucléaire. Le concept et le but de ce réseau étaient d’obtenir un système décentralisé, pouvant fonctionner malgré la destruction d'une une ou plusieurs machines [3]. La première pierre à l’édifice de la création d’Internet fut la création en 1964 par Paul Baran de la technique du « packet switching » [3] qui eu également l’idée d’une topologie en étoile maillée. Ainsi son réseau n’étant plus centralisé, la destruction de son noyau ne provoquait plus l’arrêt des communications. Et les données s’y déplaceraient de façon dynamique, en « cherchant » le chemin le moins encombré, et en « patientant » si toutes les routes étaient encombrées.

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Puis indépendamment de ce projet militaire est apparu en 1969 le réseau Arpanet crée par l’ARPA (Advanced Research Projects Agency) qui dépendait du ministère américain de la défense. Le but de ce réseau était de relier 4 universités qui forment le réseau précurseur d’Internet [3]: Le Stanford Institute ; L'université de Californie à Los Angeles ; L'université de Californie à Santa Barbara ; L'université d'Utah. Ce réseau avait déjà les caractéristiques d’un réseau d’aujourd’hui à savoir [3]: Un ou plusieurs noeuds du réseau pouvait être détruits sans perturber son fonctionnement La communication entre machines se faisait sans machine centralisée intermédiaire Les protocoles utilisés étaient basiques. 5.Technique

Transit du trafic IP entre un ordinateur et un serveur. Chaque routeur oriente le trafic vers un routeur voisin plus proche de la destination. Internet est constitué de la multitude de réseaux répartis dans le monde entier et interconnectés. Chaque réseau est rattaché à une entité propre (université, fournisseur d'accès à Internet, armée) et est associé à un identifiant unique appelé Autonomous System (AS) utilisé par le protocole de routage BGP. Afin de pouvoir communiquer entre eux, les réseaux s'échangent des données, soit en établissant une liaison directe, soit en se rattachant à un nœud d'échange (point de peering). Ces échanges peuvent se limiter au trafic entre leurs utilisateurs respectifs (on parle alors de peering) ou bien inclure le trafic de tiers (il s'agit alors d'accord de transit). Un opérateur qui fournit un service de transit Internet à d'autres fournisseurs d'accès est appelé carrier. Ces accords d'échange de trafic sont libres, ils ne font pas l'objet d'une régulation par une autorité centrale. Chaque réseau est connecté à un ou plusieurs autres réseaux. Lorsque des données doivent être transmises d'un ordinateur vers un autre appartenant à un AS différent, il faut alors déterminer le chemin à effectuer parmi les réseaux. Les routeurs chargés
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du trafic entre les AS disposent généralement d'une table de routage complète (Full routing table)8 de plus de 330 000 routes en 20109, et transmettent le trafic à un routeur voisin et plus proche de la destination après consultation de leur table de routage. En pratique, ces connexions sont réalisées par des infrastructures matérielles, et des protocoles informatiques. Ces connexions permettent notamment de relier des connexions grand public à des Centre de traitement de données. 6.Connexions grand public L'accès à Internet est souvent vendu sous le forme d'offre commerciale de services, avec un abonnement fixe ou un paiement aux données consommées. Certaines organisation, notamment les universités européennes, disposent de leur propre réseaux ( Renater). Pour accéder à Internet il faut disposer d'un équipement IP ainsi qu'une connexion à un fournisseur d'accès. Pour cela, l'utilisateur emploie les matériels et logiciels suivants : Un ordinateur personnel ou tout autre équipement terminal d'un réseau :
 o o o 

Assistant personnel Console de jeux vidéo Téléphone mobile Fibre optique Ligne téléphonique fixe : ligne analogique, xDSL Ligne téléphonique mobile : 3G+, 3G, Edge, GPRS, GSM (CSD) Internet par satellite Wi-Fi

Un canal de communication vers le fournisseur d'accès :
o o o o o

Un système (logiciel/matériel) client pour le protocole réseau utilisé (PPP, PPPoX, Ethernet, ATM, etc.)
 

Un fournisseur d'accès à Internet (FAI) (en anglais ISP pour Internet Service Provider) Des logiciels sont, eux, nécessaires pour exploiter Internet suivant les usages : Courrier électronique : un client SMTP et POP (ou POP3) ou IMAP (ou IMAP4)
   

Transferts de fichiers : un client ou un serveur FTP (File Transfert Protocol) World Wide Web : un navigateur Web Pair à pair : l'un des nombreux logiciels de P2P en fonction de l'usage (partage de fichiers en pair à pair, Calcul distribué, P2P VoIP, etc.) 7.Data center
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Les data center sont des lieux occupés par des serveurs. Avant la bulle Internet, des millions de mètres carrés destinés à abriter de tels centres furent construits dans l'espoir de les voir occupés par des serveurs. Depuis, la concentration des centres s'est poursuivie, avec le développement de centres spécialisés pour lesquels les défis les plus importants sont la maîtrise de la climatisation et surtout de la consommation électrique. Ce mouvement a été intégré dans le green computing et vise à aboutir à des centres de traitement de données dits écologiques pour lesquels sont apparus des outils spécialisés11. 8.Infrastructures matérielles Internet repose sur la transmission d'information d'un point à un autre. Cette transmission se fait généralement au moyen d'ondes électromagnétiques ou optiques. Les différents points sont donc connectés soit physiquement, soit indirectement à travers d'autres points. Ces ondes peuvent être transmises dans l'air (technologies sans fil), dans de la fibre optique (ondes optiques), ou dans un métal (exemple paire torsadée de fil de cuivre). Lorsque l'information doit passer d'une voix vers une autre, elle est aiguillée au moyen de matériels dédiés (switch, routeurs). 9.Protocoles logiciel Les protocoles logiciels utilisés sur internet sont les conventions structurant les échanges d'informations nécessaires au transfert des contenus applicatifs pour l'usager final. Ils permettent notamment d'identifier les interfaces (et donc les machines), de s'assurer de la réception des données envoyées, et de l'interopérabilité. Un protocole est un ensemble de règles qui définissent un langage afin de faire communiquer plusieurs ordinateurs. Ils sont définis par des normes ouvertes, les RFC. Chaque protocole a des fonctions propres et, ensemble, ils fournissent un éventail de moyens permettant de répondre à la multiplicité et à la diversité des besoins sur Internet. Les principaux sont les suivants, classés selon leur couche (IP; TCP et UDP); couches applicatives : IP (Internet Protocol) aussi appelé IPv4 : protocole réseau qui définit le mode d'échange élémentaire entre les ordinateurs participants au réseau en leur donnant une adresse unique sur le réseau.
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TCP : responsable de l'établissement de la connexion et du contrôle de la transmission. C'est un protocole de remise fiable. Il s'assure que le destinataire a bien reçu les données, au contraire d'UDP. HTTP (HyperText Transfer Protocol) : protocole mis en œuvre pour le chargement des pages web. HTTPS : pendant du HTTP pour la navigation en mode sécurisé. FTP (File Transfer Protocol) : protocole utilisé pour le transfert de fichiers sur Internet.

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SMTP (Simple Mail Transfer Protocol) : mode d'échange du courrier électronique en envoi. POP3 (Post Office Protocol version 3) : mode d'échange du courrier électronique en réception. IMAP (Internet Message Access Protocol) : un autre mode d'échange de courrier électronique. IRC (Internet Relay Chat) : protocole de discussion instantanée. NNTP (Network News Transfer Protocol) : protocole de transfert de message utilisé par les forums de discussion Usenet SSL ou TLS : protocoles de transaction sécurisée, utilisés notamment pour le paiement sécurisé. UDP : permet de communiquer, de façon non fiable mais légère, par petits datagrammes. DNS (Domain Name System) : système de résolution de noms Internet. ICMP (Internet Control Message Protocol) : protocole de contrôle du protocole IP.

10.Un réseau d'abord militaire Dans le cyberespace, quand on pense à 1969, ce ne sont pas les images de Woodstock qui viennent à l'esprit. Pour les internautes, 1969 est l'année de la naissance du Net. Tout a commencé par la création d'une norme de communication à toute épreuve : le TCP/IP. Celle-ci découpe les messages en paquets qui partent dans toutes les directions avant de se recomposer à l'arrivée. Une idée de génie, mise au point sur la demande du Pentagone à l'époque de la guerre froide et qui s'est développée de manière féconde et exponentielle. En effet, le gouvernement américain, depuis les années 50, se demandait comment protéger l'appareil d'Etat contre une éventuelle attaque nucléaire soviétique. La solution est venue de la Rand Corporation, LE groupe d'experts de la guerre froide. En 1964, un chercheur du nom de Paul Baran propose de mettre en place un réseau de communication qui n'aura aucun centre. Si ledit réseau avait eu un point névralgique, un coeur où auraient été centralisées toutes les décisions, les Soviétiques y auraient certainement pointé sufisamment de missiles pour le détruire vingt-cinq fois. On a donc suggéré de mettre en place une série de noeuds (nodes), tous égaux et tous reliés les uns aux autres, de telle sorte que même si plusieurs d'entre eux étaient détruits, le réseau resterait fonctionnel. Au début, c'est une agence du ministère américain de la Défense, l'Advanced Research Projects Agency (Arpa), qui finance la mise en place des premiers pans de ce réseau décentralisé qui devait relier des chercheurs des universités, de l'industrie et du ministère de la Défense.

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C'est ainsi qu'est né, en décembre 1969, l'ArpaNet, constitué de quatre noeuds (trois en Californie et un à Sak Lake City). 11.Et scientifique A l'origine, le réseau était censé permettre aux chercheurs de l'Arpa de faire de très sérieux calculs à distance, sur des logiciels qu'ils ne possédaient pas, mais que leurs collègues, à l'autre bout du pays, pouvaient avoir sur leurs ordinateurs. Au cours des années 70, cependant, les chercheurs branchés sur l'ArpaNet ont trouvé une utilité nouvelle au réseau. Il se sont mis à correspondre avec leurs collègues, sur leurs travaux de recherche puis, petit à petit, les amitiés se formant, le réseau a servi à échanger des conseils plus personnels jusqu'aux dernières blagues sur Richard Nixon... Dès 1972, la première liste de diffusion électronique était créée : SF-Lovers, sur la science-fiction. Le côté ludique du réseau émergeant expliquant en grande partie la popularité d'Internet aujourd'hui. Pour la première fois, des machines avaient "visage humain". 12.Site web Un site web ou site (de la toile) est un ensemble de pages Web hyper liées entre elles et mises en ligne à une adresse Web. On dit aussi « site internet » par métonymie, le World Wide Web reposant sur l'internet. 12.1 Histoire Le « World Wide Web » (www) a été créé en 1990 par l’ingénieur du CERN Tim Berners-Lee3. Le 30 avril 1993, le CERN annonce que le « World Wide Web » sera libre d’utilisation pour tout le monde. La toute première adresse internet du premier serveur web était « http://info.cern.ch », hébergé par un ordinateur NeXT du Cern4. Une version ultérieure de cette toute première page html est consultable sur le site du W3C5. Avant l’introduction de l’HTML et HTTP, d’autres protocoles tels que FTP et Gopher étaient utilisés pour obtenir des fichiers depuis un serveur. Ces protocoles offraient une organisation basique de répertoires dans lesquels l’utilisateur naviguait et choisissait les fichiers à télécharger. Les documents étaient principalement des fichiers texte sans mise en page ou des fichiers encodés par un traitement de texte. 12.2 Création Pour créer un site, il faut : 1. élaborer la structure (arborescence), le contenu des pages web et la présentation ; 2. héberger le site sur un serveur web continuellement connecté à Internet ; 3. réserver et gérer un nom de domaine (l’adresse web à laquelle le site est accessible).

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La création d'un site peut être confiée à une agence web ou faite soi-même. Pour développer un site web soi-même, il est possible d'utiliser un éditeur de pages web ; pour les développeurs web avertis, un simple éditeur de texte peut suffire. On peut aussi avoir recours à un système de gestion de contenu. 12.3 Structure des pages Un site web est un ensemble de pages qui peuvent être consultées en suivant des hyperliens à l'intérieur du site. L'adresse web d'un site correspond en fait à l'URL d'une page Web, prévue pour être la première consultée : la page d'accueil. La consultation des pages d'un site s'appelle une « visite », car les hyperliens devraient permettre de consulter toutes les pages du site sans le quitter (sans devoir consulter une page Web hors du site). Une visite peut commencer par n'importe quelle page, particulièrement lorsque son URL est donnée par un moteur de recherche. Techniquement, rien ne distingue la page d'accueil d'une autre page.Site de l’INPED www.inped.edu.dz

la page d’accueil de mon navigateur internet ? A la première utilisation du navigateur, la page d’accueil est rarement celle que l’on voudrait avoir. Lorsque l’on vient d’acheter son ordinateur, il arrive fréquemment que la page de démarrage du navigateur soit celle du constructeur. Ou bien lors d’un changement d’opérateur internet, il est possible que ce soit le portail du fournisseur d’accès internet qui s’affiche par défaut. De même, lorsque l’on installe Firefox pour le première fois, c’est une zone de recherche Google que l’on a en page d’accueil. Il est cependant très facile de changer la page d’accueil et de choisir le site que l’on veut au démarrage du navigateur ou à l’ouverture d’une nouvelle fenêtre de navigation. Voici donc les explications pour modifier la page d’accueil du navigateur (browser en anglais) que l’on soit sous Windows Vista ou XP ou Mac OS X et que l’on utilise Internet Explorer (IE), Firefox ou Safari. Pour faciliter la manipulation, allez sur le

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site que vous souhaitez obtenir au démarrage du navigateur, en exemple dans le tutorial ci-dessous je prendrai CommentQuoi.com. Sous Windows XP Avec Internet Explorer (IE) La page du navigateur est sur le site que vous souhaitez afficher au démarrage, cliquez sur “Outils” pour ouvrir le menu et choisissez “Options Internet“.

La fenêtre de paramétrage des options internet s’ouvre. Il y a différents onglets, mettez vous sur l’onglet “Général“. La première section intitulée “Page de démarrage” est celle qui nous intéresse. Vous pouvez soit entrer manuellement l’adresse du site, soit dans le cas présent cliquer “Page actuelle” pour obtenir CommentQuoi.com en page d’accueil.

Vous avez également la possibilité de choisir “Page vierge” pour obtenir une page complètement vide au démarrage. Archivage du Web Le Web est par essence un média éphémère. Certains sites sont mis à jour très souvent, d'autres disparaissent ou changent de fournisseur ou d'hébergeur. Face à ce constat, il a été tenté, dans une perspective de conservation du patrimoine, de procéder à l'archivage du Web. Ces préoccupations ne sont pas récentes, si l'on considère que la Bibliothèque nationale du Canada a lancé ses projets dès juin 1994 et qu'Internet Archive, un des organismes les plus connus dans l'archivage d'internet, a été créé en 1996. L'idée de l'archivage du Web part du principe qu'il s'agit d'un mode de communication de plus en plus utilisé et qu'il importe d'en garder la trace pour que subsistent les témoignages de l'époque. Les partisans de l'archivage du Web soulignent que ce mode de communication est utilisé de manière préférentielle par des groupes qui publient peu dans les autres médias, et que les oublier dans la conservation du patrimoine conduirait à une vision partielle de la société
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Moteur de recherche Un moteur de recherche est une application permettant de retrouver des ressources (pages web, forums Usenet, images, vidéo, fichiers, etc.) associées à des mots quelconques. Certains sites web offrent un moteur de recherche comme principale fonctionnalité ; on appelle alors moteur de recherche le site lui-même (Google Video par exemple est un moteur de recherche vidéo). Outil de recherche sur le web constitué de « robots », encore appelés bots, spiders, crawlers ou agents qui parcourent les sites à intervalles réguliers et de façon automatique (sans intervention humaine, ce qui les distingue des annuaires) pour découvrir de nouvelles adresses (URL). Ils suivent les liens hypertextes (qui relient les pages les unes aux autres) rencontrés sur chaque page atteinte. Chaque page identifiée est alors indexée dans une base de données, accessible ensuite par les internautes à partir de mots-clés. C'est par abus de langage qu'on appelle également moteurs de recherche des sites web proposant des annuaires de sites web : dans ce cas, ce sont des ressources humaines qui répertorient et classifient des sites web jugés dignes d'intérêt et non des robots d'indexation — on peut citer par exemple Voilà et Yahoo!, etc. Les moteurs de recherche ne s'appliquent pas qu'à Internet : certains moteurs sont des logiciels installés sur un ordinateur personnel. Ce sont des moteurs dits desktop qui combinent la recherche parmi les fichiers stockés sur le PC et la recherche parmi les sites Web — on peut citer par exemple Exalead Desktop, Google Desktop et Copernic Desktop Search, etc. On trouve également des métamoteurs, c'est-à-dire des sites Web où une même recherche est lancée simultanément sur plusieurs moteurs de recherche (les résultats étant ensuite fusionnés pour être présentés à l'internaute) — on peut citer Ixquick, Mamma, Kartoo, Seek.fr, Kelseek.fr etc.
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Fonctionnement

Représentation d'une partie web. Le fonctionnement d'un moteur de recherche se décompose en trois étapes principales : 1. L'exploration ou crawl : le web est systématiquement exploré par un robot d'indexation suivant récursivement tous les hyperliens qu'il trouve et récupérant les ressources jugées intéressantes. L'exploration est lancée depuis une ressource pivot, comme une page d'annuaire web. Un moteur de recherche est d'abord un outil d'indexation, c'est-à-dire qu'il dispose d'une technologie de collecte de documents à distance sur les sites Web, via un outil que l'on appelle robot ou bot. Un robot d'indexation dispose de sa propre signature (comme chaque navigateur web). Googlebot est le user agent (signature) du crawler de Google 2. L'indexation des ressources récupérées consiste à extraire les mots considérés comme significatifs du corpus à explorer. Les mots extraits sont enregistrés dans une base de données organisée comme un gigantesque dictionnaire inverse ou, plus exactement, comme l'index terminologique d'un ouvrage, qui permet de retrouver rapidement dans quel chapitre de l'ouvrage se situe un terme significatif donné. Les termes non significatifs s'appellent des mots vides. Les termes significatifs sont associés à un poids. Celui-ci reflète à la fois la probabilité d'apparition du mot dans un document et le « pouvoir discriminant de ce mot » dans une langue, conformément au principe de la formule TF-IDF. 3. La recherche correspond à la partie requêtes du moteur, qui restitue les résultats. Un algorithme est appliqué pour identifier dans le corpus documentaire (en utilisant l'index), les documents qui correspondent le mieux aux mots contenus dans la requête, afin de présenter les résultats des recherches par ordre de pertinence supposée.

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4. Des modules complémentaires sont souvent utilisés en association avec les trois briques de bases du moteur de recherche. Les plus connus sont les suivants : 1. Le correcteur orthographique : il permet de corriger les erreurs introduites dans les mots de la requête, et s'assurer que la pertinence d'un mot sera bien prise en compte sous sa forme canonique. 2. Le lemmatiseur : il permet de réduire les mots recherchés à leur lemme et ainsi d'étendre leur portée de recherche. 3. L'anti dictionnaire : utilisé pour supprimer à la fois dans l'index et dans les requêtes tous les mots « vides » (tels que « de », « le », « la » ) qui sont non discriminants et perturbent le score de recherche en introduisant du bruit. Liste des outils de recherche moteur de recherche – annuaire Moteur de Recherche Annuaire

Altavista France ,Hotbot France, Dmoz, Voila Guide, Yahoo,Indexa Abacho, Hotbot.com, Free , Google, Lycos.com, Yahoo, Msn ,Mirago , Aol, Alltheweb, Voila Moteur, Tiscali , Mozbot.fr,….

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En saisissant le thème recherché(mot ou phrase), de préférence des mots clés ,puis en cliquant sur le bouton « Recherche Google »,ce dernier affiche nous affiche une liste des sites se rapprochant à ce thème. Exemple : journaux Algériens

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Remarques : 1. Le résultat sera nettement différent(nombre de sites en résultat) si on utilisera la phrase : « Algériens journaux » ou bien « journaux Algériens ». 2. Il faut bien choisir les combinaisons des mots clés dont il faut commencer par le contexte , puis le sous contexte et à près l’élément de recherche.par exemple : « informatique »+ « sécurité »+ « réseau ». 3. Utiliser une extension pour mieux cibler les résultats ,par exemple « doc » ou « pdf » pour les documents , « bmp » pour les images … 4. Pour ne pas perdre cette page de recherche ,il ne faut pas cliquer sur l’un des résultats trouvés ,mais plutôt ,utiliser le bouton droit de la souris sur le lien qui semble intéressant et l’ouvrir dans une nouvelle fenêtre,ou bien dans un nouvel onglet (de la même feuille). Méta moteur de recherche : Un méta moteur (ou méta-moteur) ou un méta-chercheur est un logiciel qui puise ses informations à travers plusieurs moteurs de recherche. De manière plus précise, le méta moteur envoie ses Requêtes à plusieurs moteurs de recherche, et retourne les résultats de chacun d'eux. Un méta moteur élimine les résultats similaires ; par exemple, si Google et Yahoo! renvoient sur les deux mêmes liens, le méta moteur ne va l'afficher qu'une seule fois dans la liste des résultats. Enfin un méta moteur trie les résultats pour fournir en premier les pages fournies par plusieurs moteurs. Certains méta moteurs permettent en outre de mélanger une fonction annuaire (les résultats sont classés par thèmes) et une fonction moteur. Cela permet d'avoir une double vue sur les résultats.

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Quelques méta moteurs
        

Copernic agent, un logiciel pour Windows Teardrop, un logiciel java pour toutes les plateformes HooSeek, un méta moteur solidaire

Ixquick, un méta moteur qui ne conserve pas les adresses IP des utilisateurs Mamma.com, un métamoteur Seek, un métamoteur francophone Seeks, un métamoteur libre, sous licence affero GPL Kelseek, un métamoteur francophone

Metacrawler, un métamoteur international qui interroge simultanément Google, Bing ...

Exemple :www.seek.com

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E-mail : C’est l’un des services les plus couramment utilisés d’Internet permettant d’envoyer et de recevoir des messages. 1.création d’une boite aux lettres : Il existe des milliers de fournisseurs de courrier électronique où on peut créer notre boite aux lettres , la consulter et même envoyer des messages.Ce sevice est souvent gratuit pour une taille limitée. Exemple : yahoo.fr En cliquant sur le lien « Mail »pour accéder au service courrier, ce qui donne :

Si l’utilisateur possède un compte, il le saisit avec son mot de passe , sinon il clique sur le lien « je m’inscris » pour créer un nouveau compte : Un formulaire (voir ci-dessous) est affiché dont il faut le remplir soigneusement et surtout bien choisir le compte et le Mot de passe.

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Une fois que le formulaire est soigneusement rempli , on clique sur le lien « j’accepte et créer mon compte » ce qui nous donne :

Et donc le compte a été créer avec succès, dont on peut y accéder :

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Le clique sur le lien « Boite de réception » permet d’afficher et lire les messages reçues avec leurs dates et heures.à présent, on aun seul message de bienvenu envoyé par Yahoo :

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Echange de Messages : Pour envoyer un message à un ou plusieurs destinataires , on clique sur le bouton « écrire » :

On doit préciser clairement le destinataire (ex : [email protected] ) ,l’objet du message (ex : salutation) et le détail du message. Remarque : Le bouton « joindre » permet d’ajouter une pièce jointe (Fichier) au message :

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Téléchargement En informatique, le téléchargement est l’opération de transmission d’informations — programmes, données, images, sons, vidéos — d’un ordinateur à un autre via un canal de transmission, en général l'internet ou un intranet. En télécommunications, le téléchargement est l'opération d'échange de données numériques entre un client et un serveur. De nos jours, la notion de téléchargement est très maladroitement associée, par abus de langage, uniquement aux téléchargements de fichiers stockés sur disque dur, après un passage par la mémoire vive des ordinateurs. Il existe de nombreuses formes de téléchargements, comme la lecture en continu (ou streaming) qui est une application moderne du téléchargement (son véritable sens), ou le pair à pair (P2P) (échange de données entre clients qui ont un double rôle de clients et de serveurs à la fois). La navigation sur le web est également une application du téléchargement. En effet, quand un internaute surf sur le web, le navigateur télécharge du texte et des images, pour les afficher sous forme de pages web. 1.Téléchargement via un lien

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C’est un service très intéressant permettant de ramener des fichiers d’’un site donné vers notre ordinateur .ce fichier peut être de différentes natures : images,musique,texte,séquence vidéo, programme ou autre. Le téléchargement se fait généralement suite à une recherche effectuée sur google (par exemple « télécharger » + « cours gratuits »+ « Anglais »,ou bien directement sur les sites de téléchargement, par exemple :

Par exemple ,on a saisie « windows live messenger »dans la zone de recherche pour retrouver ce programme : le résultat est comme suit :

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le 1er résultat est plus intéressant : en cliquant sur le bouton « télécharger » , la fenêtre suivante s’affiche :

En cliquant sur le bouton « démarrer » le transfert de données commence et la fenêtre suivante affiche la progression de l’opération :

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A la fin du transfert,on retrouve cette fenêtre :

On peut exécuter le fichier télécharger en cliquant sur le bouton « ouvrir ».

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Remarques : 1.si le contenu du site nous intéresse et on ne dispose pas de lien pour télécharger le contenu,on peut juste enregistrer le pages du site , une à une sur notre micro : Fichier Enregistrer sous on donne le nom enregistrer pour ces pages ,une consultation est possible sur n’importe quel ordinateur (même la connexion internet n’est pas disponible). 2.il existe des outils (Logiciels) permettant la gestion de l’opération de téléchargement , surtout de deux aspects : vitesse de téléchargementen plusieur tranches si la taille du fichier est importante et la connexion à faible débit , tel que Emule.

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